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Une vidéo montrant des forces de sécurité faisant usage de leur matraque face à un conducteur de taxi-moto et sa cliente a fait le tour des réseaux sociaux. Ces images violentes ont suscité divers commentaires et ont nourri de vives réactions.
Si pour les uns, les forces de l’ordre son dans leur rôle et à des moments donnés sont obligés de faire usages de leur outils de travail ( la matraque), certaines personnes s’y opposent catégoriquement et s’indignent.
Candide AZANNAÏ n’est pas resté à la marge, il fait partie de ceux qui pensent que les forces de l’ordre n’ont pas le droit de brutaliser les populations.
« Aucun agent de police, des forces de sécurité, des forces armées n’a le droit de porter des coups à aucun citoyen. Les agents en uniforme de la République auteurs de cette inadmissible violence et brutalité doivent être identifiés et punis avec la dernière rigueur », s’est-il indigné.
Pour lui, ce sont des scènes barbares du genres qui occasionnent des suites fatales, invalidantes et souvent meurtrières aux citoyens paisibles contraints à la débrouillardise pour résister à la précarité inhumaine devenue le lot quotidien sous le pouvoir dit de la rupture.
« Aucun prétexte ne peut justifier des bestialités du genre. Faire irruption devant un taxi-moto et le rouer de matraques ! Et frapper à plusieurs reprises les mains à une dame en pleine rue ! », regrette t-il.
« Qui a appris cette imbécillité à ces agents ? », s’est il interrogé avant de condamner cette forme de répression. « Je condamne avec la dernière rigueur cette approche de l’organisation de violence et de la brutalité répressive contre les populations ».
Aux dernières nouvelles, le site du gouvernement annonce en flash info que "Les agents en uniforme vus dans une vidéo de répression d’un conducteur de taxi-moto et sa cliente sont déjà identifiés. Cette inadmissible violence sera punie avec la dernière rigueur." |